Dawn De Vries {Terminée}

Prénom : Dawn
Nom : De Vries
Age : 20 ans

Catégorie : Esclave

Caractère : Douceur – Fragilité – Force de caractère – Tête d’ange
Quatre qualificatifs entre autres qui pourraient parfaitement définir cette jeune femme. Quatre qualificatifs qui, comme les fées de la belle au bois dormant qui avaient fait don à la jeune princesse, lui avaient été attribués dès sa naissance.
La douceur : ses parents, disparus depuis quelques années, l’avaient couverte d’amour et de tendresse malgré la guerre qui faisait rage. La berçant de paroles et de promesses. Ils lui juraient qu’ils feraient tout pour permettre aux humains de sortir de l’esclavage dans lequel ils étaient enfermés.
La fragilité : sûrement dû à cause de la perte de ses parents. Se retrouver seule du jour au lendemain, sans pouvoir faire confiance à qui que ce soit n’est pas chose aisé. D’autant plus que ses muscles ne sont pas tellement développés. Même un gamin de huit ans aurait le dessus sur elle.
Sa force de caractère : à défaut de muscles, Dawn à un sacré caractère, un caractère de cochon. Il lui a valu pas mal de confrontations, d'histoires et de problèmes. Mais quand elle a une idée en tête elle ne l'a pas ailleurs. Si elle croit en quelque chose, elle fera tout pour réaliser le projet.
Et pour finir : sa frimousse d'ange trompe pas mal de monde. À la voir comme ça, on pourrait dire qu'elle est une soumise, qu'elle laisserait quelqu'un prendre le dessus sur elle. Que nenni ! Elle cache relativement bien son jeu, étant une personne "double face".
Il y a tellement de détails qu'on pourrait signaler qu'il faudrait des jours et des jours pour établir entièrement le caractère de la jeune femme. D'autant plus que les changements de la lune agissent directement sur son caractère. Il est aussi imprévisible qu'un orage. Autant faire attention et ne pas jouer avec le feu.

Oubliez le type même de la femme parfaite chez les hommes, c'est-à-dire une grande blonde d'au moins un mètre soixante-dix, une belle paire d'airbag et des attitudes aguichantes, des yeux bleus ou vert. Non non, Dawn n'est pas du tout comme cela. Mais elle possède des jambes fines et élancées, elle ne mesure qu'un mètre soixante-trois, elle est auburn, brune avec de jolies reflets roux foncés, deux beaux yeux bleus clair qui font un joli contraste avec sa chevelure. Même si elle n'est pas comme la fille "idéale", elle possède toute de même des atouts féminins qu'on ne peut pas négliger. Pour les mettre en avant elle aime porter une chemise par-dessus un jean déchiré, ouverte en haut pour former un décolleté et en bas pour dévoiler son nombril. Par-dessus cette chemise peu fermée, un pull noir en "V" ou d'une couleur contrastant avec le reste et de hautes bottes à talon démesuré. Parfois, ses vêtements laissent entrevoir son tatouage sur son omoplate gauche en forme de papillon et un autre tatouage dans le creux de ses reins, des tribals formant le mot "Free".

Détails à savoir : Rien pour le moment

Votre avatar : Michelle Trachtenberg --> Dawn De Vries

Comment avez-vous connu ce forum ? : Je regardais les partenaires de Vénus et je suis tombée sur Asphalt Jungle. J’ai regardé vite fait lorsque j’ai vu le mot « moire », ça m’a tout de suite fait « tilt ». J’étais anciennement sur Muddle Island et étant donné que j’aimais le contexte de Muddle, je me suis demandée s’il était le même ici ^^ Et effectivement, voilà pourquoi je m’inscris ici =D

Avez-vous signé le règlement ? : Yes =)

En plein mois de juillet, la petite Dawn décida qu'il était grand temps de sortir du ventre de sa maman. Une petite fille de 2.5 kg, hurlant, comme un cochon que l'on abattait, à tout rompre, laissant son organe agir pour la toute première fois. « Quelle jolie voix » Avait susurré le gynécologue au nouveau papa dans un immense sourire. « Et quelle touffe ! Elle doit tenir de sa maman » Ajouta monsieur De Vries, des petites larmes qui commençaient à naître dans ses yeux bruns. « Tout le portrait de sa mère » Avec des étoiles dans les yeux, il confia l'enfant à la maman, épuisée, mais tellement heureuse. « Bonjour jolie demoiselle, bonjour jolie Dawn » A ce nom, la petite fille gigota, bougeant ses petits poings encore fermés. On aurait dit qu'elle aimait son prénom. Ses yeux ne s'étaient pas encore ouverts, attendant de s'habituer à la lumière aveuglante qui entourait le bébé. À peine née qu'elle se faisait déjà désirer. Ah vous voulez voir ses yeux ! Et bien vous attendrez !
Les trois années suivantes s'écoulèrent à une vitesse vertigineuse. Les progrès de Dawn étaient affichés sur le réfrigérateur, premier gazouillis, premier mot (ou presque), premiers pas, première couche ... Quand on vous dit que les parents sont gaga de leurs enfants. Ils immortalisent tout et n'importe quoi. Mais ils en profitent et ils font bien. Car à l'âge de trois ans la petite enfant prit la route de l'école. Et là ! Il y a tellement de découvertes à faire ! Tellement d'enfants de son âge. Elle n'avait pas été mise à l'écart des autres enfants, non, mais autant d'enfants d'un coup ! Les yeux, d'un bleu mystérieux, de Dawn pétillaient de bonheur et ses petits bras et ses petites jambes s'agitaient en tout sens. Et à peine posée à terre, Dawn ne prit pas le temps de dire au revoir à ses parents et commençaient déjà à jouer avec des petites filles. Et depuis ce jour-là, la petite famille vécue prospère, aucun souci familiale, aucun souci d'ordre affectif, rien ! Mais toute vie paisible ne le reste pas bien longtemps ! Depuis peu, mère nature se vengea des hommes avec la fonte des glaciers et la montée des eaux. Elles montèrent d'ailleurs si bien que l'Europe fut pratiquement recouverte. Les De Vries ont donc été obligés de migrer vers le continent le plus proche.

Juste cinq après la naissance de leur fille la guerre éclata entre les États Unis et l'Europe. La panique se faisait ressentir tout autour d'eux, Dawn, du haut de ses cinq ans, ne comprenait pas à tout ce mouvement, à toute cette panique. Cependant, elle remarquait bien que ses parents étaient inquiets, qu'ils ne sourient plus. C'est alors que le sourire toujours présent sur les lèvres de l'enfant disparus à jamais. Du moins, le sourire sincère, pas celui qu'elle affiche pour faire plaisir à ses parents. Cinq ans, mais tellement grande. Cinq ans, tellement enfant, mais tellement précoce. « Dis maman, pourquoi on doit partir de la maison ? » Plus d'une semaine de voyage leur a fallu pour enfin frôler les côtes russes. Les températures étaient vraiment très très basses, mais il fallait à tout prix que la famille parte de leur France natale. « Maman ? Je veux retourner à la maison » « Maman, je n'aime pas ici ! » « Maman pourquoi tu souris plus ? » « Maman, j'ai peur »
La vie aux États Unis était loin d'être paradisiaque. Tels des sans papiers, ils devaient voler pour pouvoir nourrir leur petite fille, de plus un nuage nucléaire assombrit le ciel, empêchant le soleil devenir frapper la surface du sol. Les plantes, sans lumière, se sont éteintes. Les hommes allaient connaître le même sort sous peu. Mais fort heureusement certains scientifiques réalisèrent une machine permettant de produire de la lumière et de l'oxygène. Dans leur réduit, la petite famille n'osait plus sortir de chez elle. Des mutations chez certains hommes leurs faisaient peur. « Aujourd'hui tu as six ans Dawn ! » Et encore une année ! » Bon anniversaire ma grande ! » Huit ans. Déjà huit ans ! Huit années dans ce minuscule immeuble, tentant d'échapper aux « Moires ». N'ayant subi aucune transformation, ils étaient devenus des proies que les Moires tentaient de trouver pour les asservir.

Ne voulant pas vivre en esclaves, les parents De Vries décidèrent de fuir l'Amérique. Mais où aller ? L'Europe avait-elle été totalement recouverte par les eaux ? Leur France natale avait-elle survécue ? Rien n'en était moins certain. Mais il fallait à tout prix qu'ils tentent quelque chose avant de se faire capturer et séparer. Dès le lendemain ils prirent le premier bateau sur la mère enragée. Les cris et les pleures, les crises de panique, tout cela fut le lot quotidien des pauvres humains qui tentaient, tout comme Dawn et ses parents, de fuir leur funeste destin. Une semaine et quelques jours les voici arriver en Allemagne. Il ne restait plus grand-chose de la France. « Maman, je ne comprends pas. Que se passe-t-il ? Depuis que j'ai cinq ans la vie n'est plus la même » Des questions, la petite Dawn, qui avait bien grandit à présent, en avait ! Mais les réponses se faisaient beaucoup plus rares. « L'espère humaine a changé Dawn, nous ne pouvons plus faire confiance à personne ! Tu vois le ciel ... il est aussi sombre que le cœur de certains hommes » Le cerveau de la jeune fille ne comprenait pas. Comment se fait-il que beaucoup d'hommes changent en même temps ? Elle savait que les hommes n'étaient pas tous honnêtes, mais là ... c'était comme si ses parents avaient peur des autres ! Et que ce changement s'était effectué d'un coup.
La terre allemande était comme une nouvelle terre d'espoir. Deux années où l'espoir revenait dans les cœurs. L'espoir qui faisait revivre la petite fille bien triste. Même si le moral commençait à revenir dans les rangs, chaque humain tentait de rester cacher des Moires qui grouillaient dans les villes. Monsieur et madame De Vries avaient rejoint les forces rebelles, voulant pour leur fille un monde libre pour chacun.

Le jour de ses 15 ans, Dawn était seule à la maison, comme depuis pas mal de semaines déjà. Elle avait prit l'habitude de ne voir ses parents que quelques heures entre chaque « visite » où ils prenaient une douche, des affaires propres et qu'ils repartaient là où Dieu seul savait. Mais aujourd'hui quelque chose d'étrange régnait dans l'air. Alors qu'à l'accoutumée, elle préférait rester chez elle à prendre le soleil, sa maison étant à l'abri dans les montagnes, elle était partie en forêt, pour une promenade. Malgré le cadre paradisiaque, l'esprit de la brunette n'était pas du tout à se relaxer. Quelque chose allait se passer, elle le sentait. Mais quoi ? Laissant ses pas la guider, ils la ramenèrent chez elle. Cependant, un bruit de vase cassé la fit se stopper et se cacher derrière un buisson. Elle s'aida de ses mains pour se faire une visibilité à travers ce buisson dense. Tout était calme, mais c'était un lourd silence, comme si quelque chose de grave allait bientôt se produire. Soudain, un cri, de femme, s'éleva de la maison. « Maman » Murmura d'effroi Dawn. Tout au fond d'elle une petite voix lui disait d'aller courir aider cette femme ! C'était sûrement sa mère qui criait de détresse ! Malheureusement, ou heureusement, aucun de ses muscles ne répondaient présents. C'est alors qu'elle assista, impuissante, à l'enlèvement de ses deux parents. « Maman ... Papa ... » Aucune larme, aucune défaillance, juste la voix et le cœur brisés. Au bout d'une heure à fixer la maison vide, le soleil commençait déjà à tomber sur les collines, Dawn se leva doucement, comme un robot et marcha droit vers les lieux du drame.